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DELF-DALF : des formations d’excellence pour les formateurs et examinateurs-correcteurs

500 000, c’est le nombre de candidats qui passent chaque année les épreuves du DELF-DALF. Ce dispositif repose sur un réseau de près de 40 000 examinateurs-correcteurs habilités dans le monde, formés et encadrés par environ 1 500 formateurs habilités, lors des 1 000 stages de formation organisés chaque année.

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Dans sa quête d’excellence, France Éducation international (FEI) s’attache à évaluer et améliorer la qualité des formations dispensées dans ce cadre.

Depuis fin 2023, les retours de 400 participants à des stages d’habilitation (30 pour formateurs d'examinateurs-correcteurs et 37 pour examinateurs-correcteurs) ont été collectés grâce à l’outil Net Promoter Score (NPS). Cet indicateur mesure la probabilité qu’un stagiaire recommande une formation, sur une échelle de 0 à 10. Les participants sont classés en trois catégories : « promoteurs » (enthousiastes qui recommandent la formation), « passifs » (neutres) et « détracteurs » (insatisfaits). L’indice NPS brut (0 à 10) est complété par un NPS relatif (-100 à +100), qui reflète l’écart entre le pourcentage de promoteurs et de détracteurs, offrant ainsi une vision claire de la satisfaction générale. 

Depuis décembre 2023, les 413 professionnels sondés, issus de plus de 20 pays, ont attribué à FEI un NPS brut de 9,37/10, et un NPS relatif de 79,68/100. Ces résultats très encourageants, ouvrant la voie à des améliorations ciblées, qu’il s’agisse de l’organisation des formations, du contenu ou des modalités pédagogiques. Ces avancées sont portées par l'engagement des ingénieurs pédagogiques de FEI, qui inscrivent leur travail dans une démarche de qualité continue au service des professionnels de l’évaluation.

Pour aller plus loin, FEI prévoit d’étendre ce processus de retour d’expérience à l’ensemble des quelque 1 100 stages d’habilitation organisés chaque année à travers le monde. Former des formateurs et examinateurs-correcteurs compétents, et garantir des certifications conformes aux standards internationaux comme ceux de l’ALTE, reste une priorité. Une telle démarche assure non seulement la qualité des évaluations, mais renforce aussi la confiance des candidats et des utilisateurs finaux, en phase avec les exigences internationales en matière d’évaluation des compétences langagières.

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